Et oui, vous avez bien lu, l’un des héros comics les plus populaire va entrer dans le Marvel Cinematic Universe, MCU pour les intimes.
Après moultes discussions entre Sony Pictures et Disney/Marvel, les deux géants se sont enfin mis d’accord, Spider-Man va être « rebooté » par Marvel.
Lors du hack des emails de Sony, des correspondances entre Kevin Feige (le grand manitou Marvel) et Amy Pascal (la grande prêtresse de Sony Entertainement) se solda par un refus de la part de Sony, mais la grogne des fans sur internet a obligé Sony à regarder de plus près la proposition de Marvel. Et aujourd’hui, la firme change son « non » contre un « mais bien sur, venez donc monsieur Feige, voulez-vous un thé ? Où est-ce que je signe le contrat ? ».
Quels sont les termes de l’accord ? Mais on va vous le dire voyons, que d’impatience !
Le contrat stipule donc que Sony détient « les droits créatif, la distribution et le marketing » pour les films Spider-Man produit par Marvel.
Spider-Man réapparaîtra dans un film Marvel, mais des personnages du MCU pourraient également apparaître dans des films Spider-Man !
L’histoire du héros va devoir accorder ses violons avec ceux de Marvel, c’est là que ça devient intéressant, Marvel va co-produire le prochain film solo de Spider-Man avec Sony (prévu le 28 juillet 2017) et utilisera Spider-Man dans un futur film mais nous ne savons pas encore lequel, ne nous leurrons pas, ça sent le Captain America: Civil War à plein nez !
Malheureusement pour lui, Andrew Garfield semble être le grand perdant de l’histoire, car le contrat, proposé à Sony la première fois, semble être resté intacte, Marvel ne voulant pas l’acteur pour incarner l’homme-araignée, nous allons devoir lui dire adieu.
Mais Sony n’a absolument pas abandonné ses droits sur Spider-Man, Marvel ne fait donc que louer le personnage (pour une somme astronomique).
Les fans n’ont pas attendu pour montrer leur joie sur internet, et les forums, sites et youtubers du monde entier sautent de bonheur de voir leur araignée préférée combattre aux côté des vengeurs du grand écran.
Cette nuit, Marvel Entertainment a tweeté que l’actrice Carrie-Anne Moss, dont le nom ne vous est sûrement pas inconnu, jouera dans la série Jessica Jones sur Netflix. Le rôle iconique de sa carrière étant Trinity dans la saga Matrix.
Elle rejoint donc Krysten Ritter (Jessica Jones) dans le rôle de « Harper », elle pourrait devenir une puissante alliée de l’héroïne. Le casting se compose également de David Tennant et Rachael Taylor.
L’univers télévisuel de Marvel, en collaboration avec Netflix, se concrétise de mois en mois avec le choix de l’acteur pour Luke Cage et, surtout, avec la sortie en Avril prochain de la série Daredevil (sans Ben Affleck, juré).
Il faut aussi se rappeler que les 4 super-héros Marvel/Netflix se retrouveront dans la mini-série The Defenders.
Il y a 2 semaines, la diffusion de la série Constantine débutée, et les 2 premiers épisodes sont donc disponibles à présent, voici un premier avis à chaud dessus !
Commençons par le commencement (c’est plus facile non ?) la série débute sur un John Constantine dans un asile psychiatrique, après le fiasco de l’exorcisme de New Castle, John se sent au plus bas mais doit finalement se relever pour aider la fille d’un ami décédé contre un démon qui la traque.
Le pilote de la série, je vais être honnête, m’a donné des hauts le cœur. L’épisode avait fuité sur internet et n’avait pas été apprécié par les internautes, ce qui amena la chaîne qui produit la série, NBC, à revoir sa copie et tourner certaines scènes supplémentaires et dire au revoir à certains protagonistes. Le 24 octobre dernier est donc sortie une nouvelle version du pilote et… il y a des changements plus que bienvenue, un coté plus profond et torturé pour Constantine, malgré deux mauvaises scènes maintenues. Ce nouveau pilote remonte un peu la promesse d’une série regardable (oui juste regardable), le gros point faible étant les acteurs Harold Perrineau (l’ange) et Lucy Griffiths (Liv Aberdine) qui nous offrent des performances vraiment médiocres pour deux personnages sans saveurs, mais cette dernière ne fait plus partie du casting de la série après le premier épisode. Néanmoins, le physique et l’accent de l’acteur jouant Constantine, Matt Ryan, sont impeccables, un acteur bien choisi, qui a un potentiel monstre dans ce rôle mais mal dirigé lors du premier épisode.
Puis vint le deuxième épisode sorti vendredi dernier aux Etats-Unis et la série s’améliore nettement et promet de très bonnes choses. Outre le fait que finalement Constantine fume ouvertement, l’ambiance a changé, plus sombre et plus caustique que le pilote, de nombreux changements ont été opérés. Le coté casse-cou de John revient au galop ainsi que le coté détective du surnaturel, de plus la série gagne en intérêt à l’ajout du personnage de Zed, interprété par Angélica Celaya, qui nous montre un personnage, bien que différent du comics, assez intrigant.
Même si des défauts restent des vestiges du premier épisode, le réalisateur semble apprendre de ses erreurs petit à petit et nous promet un joli spectacle à venir.
Mais ne vous y trompez pas, ce n’est et ne sera pas Hellblazer avec sa noirceur envoûtante, mais ça peut devenir une série très sympa à regarder.
Après l’annonce tonitruante des studios Marvelconcernant la sortie du film Black Panther, une séance de rattrapage concernant le personnage est de mise !
La Panthère Noire, de son vrai nom T’challa est un personnage créé par Stan Lee (mais qui n’a-t-il pas imaginé ?) et Jack Kirby qui apparaît pour la première fois dans les pages des 4 Fantastiques.
Ce héros a ouvert la voie à tant d’autres car il est le premier super-héros noir de l’histoire des comics américains tout éditeur confondu.
La Panthère noire était tout d’abord cantonnée à des seconds rôles chez les Fantastiques puis les Vengeurs de 1960 à 1966, puis un changement éditorial a été décidé, Black Panther serait un prince Africain et non citoyen Américain.
Cette décision semble triviale maintenant j’imagine, mais n’oublions pas qu’à l’époque les droits civiques des Afro-Américains étaient en plein débat et T’Challa, au final, représentait ce mouvement dans les comics, de plus le Black Panther Party (qui luttait pour les droits des Afro-Américains) a été créé en 1966, en même temps que l’histoire du héros valorisant le peuple noir, d’ailleurs la renommée du parti obligea Marvel à changer le nom du héros pour Black Leopard pendant un temps.
T’challa était le prince d’une nation souveraine d’Afrique central, le Wakanda, un pays extrêmement évolué et pourtant très traditionnel même dans leurs cultes, et après la mort de son père T’Chaka, il devint le grand prêtre du Wakanda et roi légitime.
T’challa possède une agilité, une vitesse et une force surhumaine, la provenance des ses pouvoirs varie en fonction des scénaristes, néanmoins une version se démarque, le Wakanda crée un protecteur de la cité par génération, pour cela le guerrier choisi doit se soumettre à des combats et des rituels mystiques au nom du dieu Panthère, en cas de réussite, le dieu Panthère octroie des capacités surhumaines au guerrier.
Le guerrier de notre génération n’est autre que T’Challa.
Black Panther resta un moment dans l’ombre des cadors Marvel tel que Captain America ou les X-Men, il entra définitivement au panthéon des héros Marvel quand il rejoint de manière permanente les 4 Fantastiques et les Vengeurs, mais uniquement pour les espionner, trouver leurs points faibles au cas où ils deviendraient une menace pour son pays ! Et oui, il n’est pas tout beau tout gentil, et disons que les disputes entre T’Challa, Steve Rogers et Tony Stark sont devenues monnaie courante chez les Vengeurs à cette époque.
A côté de ses pouvoirs, T’Challa est d’une intelligence remarquable, pouvant même rivaliser avec Tony Stark et consort.
Psychorigide et paranoïaque, il devint un anti-héros qui se bat pour la pérennité de son pays plus que pour des raisons d’éthique et devient un Marvel Knight au même titre que Daredevil (qu’il remplaça un temps) ou Moonknight, violent, puissant et sombre.
Il participa brièvement à la société secrète des illuminatis créée par Mister Fantastic des FF, Charles Xavier des X-Men, Namor souverain de la cité engloutie Atlantis, Flèche Noire roi des inhumains, Docteur Strange maître des arts mystiques et enfin Tony Stark. Leurs projets ? Prendre des décisions que personne d’autre ne prendrait, décider qui sacrifier si ils avaient à le faire, qui exiler sur une autre planète, qui doit vivre, ce qui ne lui plaisait pas du tout. Il finit donc par les quitter rapidement.
Plus tard, il créa sa propre société secrète Illuminati davantage à son goût.
Un heureux événement dans l’univers Marvel : Black Panther et Tornade des X-men se sont mariés ! Un couple emblématique, le roi béni par le dieu panthère et la déesse Africaine maîtrisant les éléments !
Leur rupture après l’événement Avengers vs X-Mena été abrupte et marqua une ère proche de la guerre froide entre le Wakanda et les mutants.
Comme tout bon héros qui se respecte, Black Panther à une némésis, un méchant très méchant, dans son cas, c’est Ulysse Klaw. Non son pouvoir n’est pas d’avoir un costume flashy sorti des années disco et non il n’a pas mouillé son pantalon ! Le docteur Klaw est un passionné, un peu trop passionné et devient un criminel du Wakanda.
Le Wakanda possède les seules mines de vibrarium au monde (métal quasi indestructible, le même métal que le bouclier de Captain America) et ce bon docteur Klaw en a besoin pour un appareil qu’il a créé, un dispositif permettant de solidifier le son pour en faire une arme. Avec des mercenaires, il décide donc de piller le Wakanda (et en passant faire un petit carnage, mais en toute amitié bien sur). Malheureusement pour lui, il n’arrive qu’à avoir un tout petit peu de vibrarium car T’Challa les met en déroute et lui coupe une main au passage. De là, Klaw se greffe son dispositif à la place de la main et jure de se venger de la Panthère.
Le reste des histoires de Black Panther sont en cours et disponible chez les meilleurs marchands de comics !
Je ne peux que vous conseiller de lire les aventures de ce héros sombre et charismatique qui a encore de belles années devant lui puisque le film vient d’être annoncé pour novembre 2017, vous pouvez lire notre article en cliquant ici !
Et oui vous avez bien lu, Captain America 3 pourrait être un prologue ou même le film directement inspiré du comics Civil War.
À 3 heures du matin heure Française, Kevin Feige le grand manitou du Marvel Cinematic Universe à relâché le Kraken, il y aura bien un civil war au cinéma !
La nouvelle est tombée il y a peu, Robert Downey Jr serait en pleine signature du contrat pour faire partie intégrante du prochain film sur le héros à la bannière étoilée.
Nous rappelons à ceux qui n’ont jamais lu l’arc Civil War que c’est un face à face entre une équipe trustée par Tony Stark pro-loi sur le recensement des super-héros contre l’équipede Captain America qui est contre cette loi qui implique de révéler les identités de tous les super-héros (je ne vous spoilerais donc pas en disant que l’histoire est épique).
Le scénario ainsi que l’implication d’Iron Man n’a, pour le moment, pas été rendu publique mais ça n’est qu’une question de temps.
Oyez Oyez braves lecteurs, la rubrique de l’Ovni du mois est de retour, et pour ce come-back je vous ai préparé un comics aux petits oignons ! La réédition du comics Transmetropolitan étant actuellement en cours par Urban Comics, cela me donne une raison supplémentaire de vous en parler, et oui je n’allais pas vous parler d’un comics qui était encore introuvable il y a quelques mois, ça aurait été sadique au possible.
Ce comics est une oeuvre créée par l’esprit tordu de Warren Ellis, mais avec un résultat toujours aussi jouissif ! Publié dans le label Helix (DC Comics donc) qui disparu pour rejoindre le label déjanté et inventif VERTIGO.
Je pense qu’un petit aparté est de mise pour présenter Transmetropolitan :
Aux États Unis, un journaliste du nom de Hunter S. Thompsona popularisé un style de journalisme que l’on a nommé « Gonzo » (je vois venir les blagues…). Le journalisme Gonzo prenait le parti pris que, pour écrire sur un sujet, il fallait vivre le sujet et en faire un article avec son propre point de vue, et non juste énumérer les faits. Hunter S. Thompson était aussi connu pour ses excès de langage et de moralité que la police et toutes les mamans du monde réprouvaient.
Sa vie journalistique et personnelle ont laissé leur empreinte dans la pop culture aussi bien au niveau roman (il a écrit Hell’s Angels ainsi que Road 66 pour les plus connus), il a inspiré des films comme Las Vegas Parano, et dans les comics Transmetropolitan.
Transmetropolitan est une histoire futuriste où des fasts foods vendent de la chair humaine ! Oui, vous pouvez commander un pied de Français ou un foie de Brésilien sans problème, et vous accompagnerez bien ça d’œil de phoque j’imagine, le goût est meilleur.
Un futur où on peut se changer en nuage rose pour le fun, où une nouvelle religion apparaît toutes les minutes, un futur où la lapidation est revenue à la mode aux États Unis, un futur où la culture est devenue uniformisée dans un seul bloc noirâtre de médiocrité (futur vous dites ?), où il y a des suppresseurs d’intellect dans l’eau, où la pub est devenu un langage et les politiciens se torchent avec la vérité tous les matins après leur café colombien avec deux sucres.
Spider Jerusalem cherche la vérité, et il n’est pas prévu qu’il soit politiquement correct.
Accompagné par ses deux sordides assistantes et son chat à deux tête (en cas d’agression de sa part, lancez lui un paquet de cigarette Black Russian sans filtre et il vous laissera en vie), Spider va essayer d’ouvrir les yeux à sa ville avec ses articles incendiaires, son langage pas piqué des hannetons et ses agressions à répétition.
Irrévérencieux au possible, avec un grand nombre de clin d’œil et de référence : émeutes du Bronx, élection présidentielle et tant d’autres pans de la culture Américaine et même mondiale.
Des articles touchants où on se retrouve parfois avec un tel cynisme que finalement la peur d’un futur pareil s’évanouit et l’on se rend compte que l’on vit dans ce monde peint par Warren Ellis.
Vous désirez lire une oeuvre intelligente, sans compromis, qui fait réfléchir sur sa propre relation avec le monde tout en regardant un journaliste déguisé en Jesus mettre un boxon sans pareil au salon de la religion ? Courez chez votre libraire au plus vite !
Les deux premiers tomes (sur cinq) de Transmetropolitan sont disponibles chez Urban Comics.
Après son rôle de Groot dans Les Gardiens de la Galaxie,il est possible que Vin Diesel fasse parti du casting d’un autre film Marvel.
Cette rumeur est apparue après un message de l’acteur sur son Facebook Officiel : « Vin et Marvel… C’est vous qui avez permis que ça se fasse ! J’ai l’étrange impression que Marvel pense que je suis inhumain ».
Tout fan Marvellien qui se respecte a bien sur fait une corrélation avec Lesinhumains,un groupe de paria dans l’univers Marvel, créé par Stan Lee (oui, cet homme est une mine d’or) et Jack Kirby.
Les Inhumains ont été mutés par une race extraterrestre que vous n’allez pas tarder à rencontrer dans un certain film (pas de spoil ici, c’est un site bien sous tout rapport).
Les paris sont ouverts, quel rôle Vin Diesel pourrait jouer dans ce film ?
La possibilité qui revient le plus souvent, c’est le rôle de Flèche Noir, le roi des Inhumains et qui ne parle pas car sa voix est si puissante, qu’un murmure pourrait détruire une petite ville sans problème.
À préciser que le film n’a pas encore été annoncé par Marvel.
Aujourd’hui cher(e)s ami(e)s déjantée, je vous fais découvrir (ou redécouvrir) un comics qui sort des sentiers battus (quoi ? un comics totalement barré dans cette chronique? Ce n’est pas notre genre voyons !).
Je parle bien sûr de Tony chu, un détective de la R.A.S (le pendant du FBI si vous voulez) qui enquête sur des crimes comme des meurtres ou de la consommation illégale de poulet… Oui oui vous avez bien lu, la viande de poulet est prohibée, alors oubliez les nuggets en le lisant!
Tony Chu a quand même une particularité très rare, il est cibopathe, quand il mange quoi que ce soit qui ait été vivant ou non, il reçoit un retour psychique de l’animal ou du fruit avant qu’il ne devienne un gigot d’agneau ou un bananasplit, et ça marche aussi avec les humains, ce qui lui permet de résoudre ses enquêtes.
La vie de Tony n’est pas facile du tout, son don est une vraie malédiction pour lui, il ne peut rien manger sans avoir, littéralement, des images de l’abattoir dans la tête, le seul aliment qu’il peut manger tranquillement c’est de la betterave… Et il en mange donc beaucoup !
Sans compter son chef qui le déteste et lui fait faire les besognes les plus dégoûtantes comme goûter aux déjections d’un homme mort pour résoudre l’affaire (ha oui, j’oubliais, ne mangez pas en lisant cette article… bon c’est un peu tard maintenant).
Mais tout n’est pas noir, Tony a une petite amie pour le soutenir, la belle Amelia Mintz, critique culinaire et saboscrivner… Elle décrit les plats avec une telle perfection, que les saveurs se matérialisent dans la tête de ses lecteurs, et ça marche aussi avec la voix ! Elle peut faire tomber dans les pommes n’importe qui en décrivant le goût de la cervelle de pigeon faisandé depuis 8 mois ou le faire saliver à en tomber en décrivant des pâtes aux truffes.
Ce comicbook est si dense au niveau du matériel que chaque tome nous refait découvrir certains personnages alors déjà présent dans les précédents tomes.
Autre le côté glauque, un peu gore et dégueulasse sur les bords (mais très drôle et jouissif) on retrouve, entre autre, une satyre du système alimentaire actuel, à la manière de McBeth (sans le coté lyrique et chamarrée) Tony Chu transpose les problèmes d’actualité dans une nouvelle dimension, ce qui fait que Tony Chu est un comics très amusant mais pertinent sans pour autant mettre mal à l’aise car il y a un décalage avec le monde que l’on connait.
Tony Chu : Détective cannibale est édité chez Delcourt, 7 tomes sont sortis en France à ce jour, et je vous conseille fortement de courir chez votre marchand de comics, et de les dévorer… sans aucun jeu de mot bien sûr !
La sagaLegoa gagné ses lettres de noblesse après Lego Batman,Lego Indiana Jones et Lego Star wars !
Cette fois-ci, la saga s’attaque à l’univers Marvel, ce qui aurait pu être très bancal à la base, mais Warner Interactive (éditeur) et TT Games (développeur)nous offrent un jeu de bien bonne facture.
Tout d’abord, le scénario est sympathique sans non plus bousculer les habitudes de la franchise Lego. Une trame simple, le Docteur Fatalis à fait exploser la planche de surf du Silver Surfer, et les super méchants veulent s’emparer des morceaux pour les donner à Loki et être dans ses petits papiers, mais le SHIELD et les autres super héros ne vont pas se tourner les pouces !
Le scénario inclut beaucoup de choses venant du film, comme l’architecture de l’héliporteur, la prison de Loki dans The Avengerset aussi des coups spéciaux comme ce que fait Hulk à Loki dans le film, ainsi que d’autres choses venant des comicbooks, comme certaines relations entre les personnages, des clins d’œil à des arcs comme World War Hulk, Secret War ou même Civil War !
Le scénario est très drôle aussi, comme à son habitude ce Lego est rempli de moments drôles, en passant par les annonces dans l’héliporteur, Hulk qui craque son pantalon ou même Iron Man qui fait la danse du robot.
Les différents niveaux se suivent mais ne se ressemblent pas, chaque niveau demande certains pouvoirs pour avancer et est rempli de passages secrets en tout genre ! Vous devrez faire le niveau une première fois avec des personnages imposés mais vous pourrez, par la suite, les refaire avec les personnages de votre choix pour tout débloquer dans ce même niveau (sauver Stan Lee, et la récolte d’item bonus par exemple).
À part le scénario, vous aurez à disposition toute la ville de New York en open world, vous pourrez aller partout où il vous chante avec pleins de missions secondaires et de personnages déblocables disponibles.
Le nombre de personnages jouables est très impressionnant, vu que vous pourrez incarner 180 personnages (costumes alternatifs compris), les Vengeurs, X-Men, les 4 fantastiques, indépendant (Black Cat, DareDevil et comparses), personnages secondaires (J.Jonah Jameson, Gwen Stacy…) et même les méchants comme Fatalis, Loki et même Galactus. Que dire à part que le « casting » est plus qu’impressionnant et, il faut le dire, jouissif !
Le bémol, mais certaines personnes diront que je pinaille, est que plusieurs personnages ont les même pouvoir que d’autre ou ils sont mal retranscrit, comme Mister Fantastique qui peut se transformer en fusée et décoller (ce qui ne peut pas faire normalement).
Les graphismes m’ont agréablement surpris, je ne m’attendais pas à ce genre de finitions sur un jeu estampillé Lego, les décors sont de toutes beautés et parfois jurent avec le reste des personnages, tant certains immeubles sont superbement modélisés, les personnages restent des Legos cubiques sans réelle forme mais les détails sont là et sont reconnaissables sans problème.
Aussi bien au niveau du fond que de la forme, ce jeu est une petite perle pour tout aficionados de Marvel ou de jeux Lego, les niveaux sont vraiment funs et parfois complexes, pléthore de références en tout genre (même à Docteur Who), pouvoir jouer à autant de personnages Marvel différents est un plus gigantesque !
Gros gros point positif (et rare dans les jeux actuels), le jeu en coopération est disponible dés le début du jeu, vous pourrez jouer à 2 pendant tout le jeu sans problème, par contre réglez les options de l’écran partagé en écran fixe, sinon nausée garantie !
Par contre le jeu à un peu de mal sur PS3 par moments, le jeu étant très lourd à supporter mais roule à la perfection sur PS4.
Ce mois-ci, nous allons parler d’un comics qui fait hérisser le poil des religieux et des gens siiiiii polis et bien sous tout rapport, un comicbook qui a défrayé la chronique outre Atlantique pour ses blasphèmes à répétition et son langage de vendeur de poisson un dimanche matin pluvieux sur le vieux port de Marseille (c’est très imagé, je sais).
Je veux bien sûr parler de PREACHER, le comics écrit par Garth Ennis et Steve Dillon.
Preacher raconte l’histoire du révérend Jesse Custer qui, une nuit précédant la messe au Texas, reçoit en son sein l’esprit d’une entité céleste appelé Genesis, ce qui amène deux choses, il acquiert le pouvoir de commander n’importe qui grâce à sa voix, et le plus important, une révélation, Dieu a démissionné depuis longtemps !
Jesse décide alors de traquer Dieu pour avoir des réponses et lui foutre son poing dans la face en passant.
Aidé de Tulip, son ex-copine stripteaseuse devenue tueuse à gage et de Cassidy, le vampire Irlandais, le révérend Custer va passer par de nombreux obstacles comme une grand-mère sadique psychopathe adorant la torture (mais qui sait faire un bon café) et même le Vatican a décidé de le supprimer !
Un comicbook devenu cultissime tant par sa violence crue, son langage de charretier, son humour noir et son irrespect total des dogmes religieux.
Entre scène de torture animale, sexe, tueries et le descendant incestueux dégénéré de Jésus, cœur sensible s’abstenir !
Mais ce n’est qu’une partie du comics, l’histoire est axée sur le développement des protagonistes, l’auteur fait une narration splendide sur le fait de prendre ses responsabilités, les conséquences réelles des choix désespérés qu’on fait dans la vie et le fait de subir (quand même exagérément) la foi de fanatiques, même dans sa propre famille.
Une fresque humaine ou même le coté surnaturel du comics fait ressortir une sensation d’empathie envers les personnages principaux.
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